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Légendes caprines

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A chaque articles je montrerais une de mes chèvres & boucs afin que vous connaissiez mieux mon troupeau

 

 

Beaucoup de légendes existe sur les caprins, moi cela me ravie de voir qu'elles existent vraies ou fausses (dans mon articles sur Balbala)  http://ourt.blog4ever.com/il-y-a-100-an

les caprins ont eu leurs utilités au centre de la guerre.

 


 

 

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 La chèvre Amalthée sous deux différentes races à droites (poitevines races à lait)

 

cette chèvre fut la nourrice de Zeus. Cette chèvre était une fille d’Hélios et d’un aspect si épouvantable que les dieux du temps de Cronos, horrifiés par l’aspect Chèvre, nourrice de Zeus

 

En Grèce, c’est la chèvre Amalthée qui s’appliqua à nourrir Zeus enfant quand son père Cronos le cherchait pour le dévorer ; c’est elle aussi qui organisa autour du petit les danses bruyantes des Courètes, destinées à couvrir les cris du divin bébé, caché dans une grotte du mont Ida. D’autres chèvres nourricières sont connues dans la mythologie grecque, comme celle qui donna la mamelle à Philandros et Phylacidès, les fils d’Acacallis et Apollon, ou celle qui allaita Égisthe, fils de Pélopie et de Thyeste ;  le nom de cet Égisthe, de même étymologie que le mot « égide », est d’ailleurs tiré de la dénomination grecque de la chèvre : aix, aigos (Grimal 1990 : 342, 367). 

 

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Mais, bien que mère attentive, la nourrice de Zeus était en réalité un animal monstrueux, si horrible à voir que les Titans avaient exigé qu’elle ne quitte pas sa caverne. Selon certaines versions du mythe Amalthée n’est pas le nom de la chèvre, mais celui d’une nymphe qui accompagnait cet animal alors appelé Aïx. Dans tous les cas, un jour que l’enfant divin jouait avec l’animal nourricier, il lui brisa involontairement une corne, dont il fit présent à la  nymphe qui l’accompagnait, en l’assurant qu’elle se remplirait de fruits suivant ses souhaits : ainsi apparut la Corne d’Abondance. À la mort de la chèvre qui l’avait nourri, Zeus, lors du combat des dieux contre les Titans, fit de sa peau un bouclier, celui-là même sur lequel la déesse Pallas attacherait plus tard la tête de la Méduse. La peau de cette chèvre prit le nom d’ « égide » (d’un mot grec dérivé du nom de la chèvre, Aix), devenue symbole de protection jusque dans notre expression actuelle « sous l’égide de… ». Voici la version du mythe, telle que contée par Ératosthène, qui vécut de 287 à 212 avant notre ère environ, et qui dit l’avoir empruntée au poète et chanteur mythique  Musée, disciple d’Orphée : 

« Musée dit que Zeus, à sa naissance, fut remis par Rhéa entre les mains de Thémis, que celle-ci donna le nouveau-né à Amalthée, que cette dernière le confia à une chèvre qu’elle possédait, et que qu’avait cette fille, avaient demandé à Terre de la cacher dans une des grottes de Crète. Terre la cacha donc loin des regards et la remit entre les mains d’Amalthée, qui nourrit Zeus au lait de cette chèvre. Quand l’enfant parvint à l’âge viril et s’apprêta, bien qu’il fût sans armes, à faire la guerre aux Titans, un oracle invita Zeus à utiliser la peau de la chèvre comme une arme, en raison de son caractère invulnérable et terrifiant, et parce qu’elle portait, au milieu du dos, le visage de Gorgone. Zeus suivit l’oracle et apparut, grâce à ce stratagème, deux fois plus grand qu’il n’était. Il recouvrit les os de la chèvre d’une autre peau, lui donna la vie et la rendit immortelle. On dit qu’il la transforma en constellation céleste. »

 

 Dans la mythologie grecque, la constellation du Capricorne représente pour certains Amalthée, la chèvre qui nourrit Zeus lors de son enfance.

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Chèvres des Dieux

 

 

Effectivement, la Chèvre se trouve maintenant au ciel, sous forme de la constellation du même nom, ainsi que le rapporte Ovide (Fastes V) : « le dieu métamorphosa en étoiles sa nourrice et la corne féconde de sa nourrice, qui aujourd'hui encore porte le nom de sa maîtresse ». Tout près, se trouvent les deux chevreaux mis bas par la nourrice de Zeus au moment où le dieu lui était apporté. Le mythe dit que ces chevreaux auraient été « catastérisés » (c’est-à-dire placés au ciel, honneur auquel nul bouc n’a eu droit) par Zeus en raison du service rendu par leur mère, mais les astronomes pensent qu’ils auraient été reconnus par Cléoastre de Ténédos, au VIe siècle avant notre ère. En tout cas, ils étaient bien connus des navigateurs, car leur lever et leur coucher était annonciateur des tempêtes d’équinoxe et, au quatrième siècle avant notre ère, Aratos écrit dans Les Phénomènes, un poème didactique sur l’astronomie, que « la Chèvre et les Chevreaux souvent voient des hommes faire naufrage sur la mer bouillonnante » (Charvet 1998 : 77-80).

 

Que la chèvre nourrice de Zeus ait eu un aspect monstrueux, terrifiant, n’est pas très étonnant : le mot grec Khimairâ, signifiant « jeune chèvre » a donné notre mot Chimère, par allusion au monstre attesté dans L’Iliade, et qui était un hybride de trois animaux (lion, chèvre, serpent). La Chimère grecque, sorte de dragon cracheur de feu qui fut tué par le héros Bellérophon, était décrite soit la sous forme d’un être formé de trois parties prises à ces espèces, soit sous celle d’un lion à trois têtes de ces mêmes animaux. Dans tous les cas c’est un être composite, et son nom est maintenant utilisé pour désigner tout être, mythique ou réel, rassemblant les éléments de plusieurs espèces. En exemple de chimère, on peut donc citer le capricorne, qui a corps de bouc ou de chèvre, et queue de poisson ou de dauphin. Un autre exemple est le tragélaphos grec, mi-bouc mi-cerf, dont le nom a été donné par les naturalistes à une famille d’antilopes d’Afrique du Sud : les tragélaphinés.

 

La chèvre, participant de la grotte (comme dans le mythe d’Amalthée qui éleva Zeus dans une caverne de l’Ida), entretient donc des sympathies avec le monde souterrain, et dans les contes populaires comme La Chèvre d’Or, elle garde les trésors enfouis. Elle n’en n’est pas moins un animal montagnard, familier des crevasses, des rochers escarpés et des cîmes, et donc aussi de nature aérienne, ce qui la prédispose à la prophétie. Ainsi, Diodore de Sicile nous apprend que l’emplacement du grand temple d’Apollon à Delphes fut découvert par des chèvres : leurs bergers avaient remarqué que chaque fois qu’elles s’approchaient d’une faille d’où s’exhalaient des fumées inquiétantes, elles se mettaient à danser ; ils y reconnurent un signe des dieux et y édifièrent un sanctuaire à Gaïa, déesse de la terre, ultérieurement dédié à Apollon (Bibliothèque historique, XVI). Là, durant des siècles, des pèlerins vinrent consulter les oracles donnés par une pythie (devineresse) que les exhalaisons d’éthylène naturel faisait tomber en une transe lui permettant de prophétiser

 


 

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Chèvre noire d’un cimetière de
la Drôme veillant sur les morts
et attachée aux divinités infernales ?

 

(Cimetière est en passe d’être ruiné depuis qu’on vient y extraire du gravier pour les chemins. La coupe de terrain de la gravière montre, entre la couche de terre arable et le gravier que l’on extrait, une rangée de tombes ouvertes par où sortent des crânes, des tibias et divers ossements an 1917). 
 

Dans la terre provenant de la couche arable, on trouve, avec les débris d’ossements, de petits vases en poterie bleutée. Le piédestal assez original d’une ancienne croix dont le bras horizontal manque, occupe l’angle du chemin de Salettes et de la nouvelle route d Eyzahut. Depuis neuf ans, je passe chaque année en cet endroit, et je m’y arrête dans l’intention de voir s’il n’y a rien à glaner pour l’histoire du pays, ajoute notre Anfos Martin. Je n’y ai encore recueilli jusqu’ici qu’une légende. Cette légende est d’autant plus intéressante que les fermiers des environs la tiennent pour un fait véritable.

 

En voyant la vieille croix mutilée, je demandai, il y a quatre ans, au propriétaire actuel du terrain, M. Chavagnac, qui habite dans une ferme à côté, s’il connaissait l’auteur de cette mutilation et de la mutilation d’ailleurs de toutes les croix des environs. Il me répondit qu’il ne le connaissait pas. Je le questionnai alors, et c’est là que je voulais en venir, sur l’ancienneté de la croix et sur le cimetière. Nous causâmes longuement. Je lui fis remarquer combien il était attristant, pour un homme qui avait un peu de cœur, de voir profaner un cimetière, de voir des squelettes humains foulés aux pieds et broyés par les roues des tombereaux ; je gagnai sa confiance et il me raconta ce qui suit.
« Mon père, lorsqu'il acheta, peu après la guerre de 1870, la propriété que je possède, trouva la vieille croix complètement démolie. Il la releva avec le concours des fermiers voisins et cela, à la suite de l’apparition mystérieuse, la nuit, sur le cimetière, d’une chèvre noire, qui sautait, bondissait, lançait des coups de cornes terribles dans l’air, puis disparaissait subitement, lorsqu'on voulait s’en approcher. » Cette Chèvre qui lui était apparue plusieurs fois ainsi qu’à d’autres personnes, ne se montra plus dans le cimetière dès que la croix en eut été relevée.
 
Mais... « Ah ! Monsieur quelle affaire ! Depuis que cette croix a été mutilée, la chèvre est revenue. Je l’ai vue, il y a peu de temps encore, une nuit de clair de lune, en rentrant un peu tard de la foire de La Bégude, où j’étais allé vendre des bestiaux. Elle était au-dessus des tombes et regardait dans la gravière. Tout à coup elle se retourna, tournoya dans les touffes de buis, se cabra et fonça tête basse dans la nuit. Je hâtai le pas pour être, au plus tôt, en sécurité, au milieu de ma famille. »

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La chèvre d'or

Après la libération de la région de l’occupation sarrasine (en 974), bien des combattants, et parfois des plus valeureux, quittèrent les rangs de l'armée pour se lancer à la recherche d'un inestimable trésor dont seule une chèvre aux sabots et aux cornes en or connaissait la cachette. 
A l’origine cette légende n'en était pas une puisqu'il s'agissait bien du trésor des Sarrasins en fuite devant les troupes de Guillaume « le libérateur » nouveau comte de Provence. Les Maures avaient caché leur magot dans les Alpilles en promettant de revenir le chercher. Mais aucun de ces hommes ne revint, ils furent probablement tous tués dans les combats qui suivirent.
Seule une chevrette témoin de la dissimulation du trésor par les Sarrasins pouvait désormais connaître la cachette et devenir la gardienne vigilante du fabuleux trésor. Elle ne se confiera qu’à celui capable de l’attendrir.
En attendant, le malicieux animal, pour éviter d'être capturé par d’avides chercheurs de trésor, connaissant son secret, s'évertuera pour le protéger à perdre ses poursuivants à travers montagnes et collines de Provence, gambadant sur les crêtes, dans les maquis et garrigues jusqu'au bord de la Méditerranée.

 

" Sur le versant méridional du plateau des Encourdoules (nom qui semble dérivé de Cordoue, l'ibérique), domine Valauris, une faille de roc donne péniblement accès à la grotte de la Chèvre d'Or, lou trau de la cabro, ou seraient entassées en des profondeurs mystérieuses des masses d'or et de pierres précieuses. On ne pourrait arriver jusqu'à ces trésors sans l'aide d'une chèvre aux cornes d'or, postée sur le seuil et invisible durant le jour. Elle apparaît le soir, éveillant, par ses bonds capricieux, la curiosité du passant. Malheur à celui qui la suivrait dans la grotte, il ne reverrait jamais la douce lueur du jour. égaré dans le labyrinthe des couloirs ténébreux, il perdrait bientôt le trace de la chèvre aux cornes d'or et mourrait misérablement de faim, de soif et d'épouvante, près des plus mirifiques richesses. C'est ce qui est arrivé, conte t-on, à tous ceux qui ont voulu suivre la chèvre dans sa sombre retraite"

"J'avais rencontré la Chèvre d'Or dans tous les coins de Provence, aux Baux, à Gordes, à Vallauris. partout la légende se rattachait aux souvenirs de l'occupation sarrasine, et partout il s'agissait d'une chèvre à la toison d'or, habitant une grotte pleine d'incalculable richesses et menant à la mort l'homme assez audacieux pour esayer de la traire ou de s'emparer d'elle..."

Fédéric Mistral a écrit sur elle :

 

"Je veux la chèvre d'Or, la chèvre
Que nul mortel ne paît ni trait
qui, sous le roc de BausManière
lèche la mousse des rochers
ou je me perdrais dans les carrières
ou tu me verrais ramener la chèvre au poil roux !
hélas ! Combien d'âmes sèches et affamées de gain
mordant au piège du noir antenois et à la Chèvre d'Or
font humer leur encens !"

 

LE TRESOR DE LA PETITE CHEVRE

Plus près de nous, un homme, que la légende a retenu, trouva le courage d'aller jusqu'au fond du labyrinthe du trou des fées

. Il se nommait Abd al-Rhaman. Septième walli d'Espagne, ce maure tenta de s'emparer des Baux, mais fut vaincu par les indigènes aux environs de Fretta, ville imaginaire qui pourrait se situer aux alentours de Saint-Rémyde-Provence. 
" Chargé d'immense butin, il voulut cacher en un lieu sûr dans une des nombreuses grottes des Alpilles, le plus précieux de son trésor. Donc au milieu de la nuit, accompagné de quelques serviteurs fidèles, Abdérame se dirigea vers une des grottes qui se trouvent dans le vallon des Baux. Là, à une profondeur jusqu'à nos jours inconnue, le chef maure, pensant revenir bientôt, cacha tout un monceau d'or et de pierreries. "

Abd al-Rhaman n'est jamais revenu et depuis sa mort probable personne n'a pu découvrir la cachette. 
Mais ce trésor, dont personne ne doute ici, est maintenant gardé par cette Chèvre d'Or qui fait tant parler d'elle dans tous les lieux provençaux de magie.

Près de Baumanière, dans le vallon, elle lèche les murs qui lui offrent la saveur du salpêtre; elle tourne et retourne dans les carrières abandonnées; elle efface à grands coups de sabots les symboles sexuels que des passants aux yeux égarés ont fait surgir des angles de la pierre. Craignez la Chèvre d'Or, mais ne la fuyez pas elle seule détient les clefs des innombrables trésors de la Provence

 


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 La chèvre d'argent

Un roi, en parcourant son royaume, aperçu un jour ces mots tracés au dessus de la porte d’une maison Avec de l’argent on va partout, Avec de l’argent on fait tout, C’était la demeure d’un marchand enrichi par son travail et son industrie. Le roi entra dans sa maison et lui demanda :”pensez vous que ce soit bien vrai ? Oui sire répondit le marchand, Eh bien ! Voulez-vous accepter un Si avec votre argent, vous parvenez à coucher avec ma fille, je vous la donne en mariage, et si vous ne réussissez pas, vous serez pendu. J’accepte sire répondit-il sans hésiter. Vous pouvez utiliser tous les moyens qu’il vous faudra” Le marchand construisit une chèvre en argent, de grande dimension, qui marchait, bêlait et dansait au moyen d’un ressort intérieur. Il s’enferma dans le ventre de la chèvre, et se fit conduire par un ami et confident dans la chambre de la princesse. le soir, une fois la princesse couchée, le marchand sort de sa cachette et parla avec la jeune fille, et finit par la séduire et obtint ses faveurs. Et ce petit manège dura quelques temps, et un jour, la princesse tomba enceinte. Le roi fort en colère, l’interrogea et lui demanda qui était le père. “C’est la chèvre, répondit-elle!” Le roi courut dans la chambre de sa fille et vit le marchand qu’il reconnu “J’ai gagné sire! un roi n’a qu’une parole, j’ai donné la mienne et je la tiendrai” Et le mariage fut célébré avec de grands festins et de grandes fêtes LUZE.

 

 

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Histoire magique d'un grain de rêve

 

 

Il y a très longtemps au Yemen (Arabie), un jeune berger, Kaldi, gardait les chèvres dans la montagne. Il remarqua que les bêtes étaient joyeuses et excitées après avoir mangé les baies rouges d’un arbuste qu’il ne connaissait pas. Inquiet, il alla parler de ce phénomène étrange au prieur d’un couvent tout proche. Kaldi et le prieur allèrent cueillir les fruits. Ils les firent bouillir dans de l’eau et goutèrent le breuvage obtenu. Ils se mirent alors à danser et restèrent éveillés très tard dans la nuit. Le lendemain, le prieur servit une tasse de cette boisson magique à tous les moines. Jamais prières ne furent mieux dites. Les moines prirent l’habitude de boire la divine boisson et purent résister au sommeil lors des longues prières du soir. Ils l’appelèrent "kawa" en souvenir d’un grand roi persan Kavuskai. L’ange Gabriel offre du café à Mahomet. Le prophète Mahomet étant souffrant, l’ange Gabriel, envoyé par Allah, lui offrit une boisson noire pour le réconforter. Après avoir bu le breuvage, Mahomet recouvra la santé et sa force de jeune homme. Il appela la boisson "qahwa".

 


 

Pleins d'autres histoires belles ou non existe sur les chèvres notamment celle du bouc, mais moi je ne l'aime pas " Pour moi un Bouc représente la force, il défend son troupeau et contre tout les on dits lorsque les chaleurs sont terminées il ne sent plus mauvais et retrouve toute sa sérénité". Sentir mauvais bien grand "Mot"  pour lui c'est son odeur qui lui permet de procréer et de défendre ses femelles afin de tenir éloignés les autres mâles . C'est la loi de la nature pour tous les animaux

 

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26/04/2015
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